25 décembre 2007

Joyeux Noël !

Mon pommier du jardin s'est décoré tout seul en conservant quelques fruits !
Phénomène relativement rare un 25 décembre.
Complètement givré, mon pommier ! mais lui, ne perd pas les boules !

29 novembre 2007

L' A 380 dans tous ses états




Avion A380 à Impériale (suite)


Une Nana-chat pointue sous tous rapports...

C'est vrai, ce n'est pas une tenue d'hiver, mais lorsque je l'ai envoyée, il faisait chaud...
Le jeu consistait à compter le nombre de pointes de crayons !
on se demande...

21 octobre 2007

L'Hospice d'Havré...à Tourcoing

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'un Hospice pour personnes âgées.
Le site de la Ville de Tourcoing relate l'historique de ce bel ensemble. En voici une chronologie très raccourcie (rendez-vous sur le site de la ville pour en apprendre davantage)
1260 - Mahaut de Guisnes fonde un hôpital pour les pauvres : un manoir entouré d’un grand pré (7ha) au carrefour du sentier des Carliers et du Moulin Fagot.
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6 mars 2004 - ré-ouverture au public, l’Hospice d’Havré devient « lieu d’art et d’échanges » et accueille des spectacles et des expositions. Les travaux de rénovation menés par la ville ont redonné au cloître et à la chapelle leur autonomie architecturale, la réalisation de beaux jardins avec leurs plantes médicinales et tinctoriales font de ce site un lieu particulièrement attractif.

Lézard Timbré avait organisé un appel à Mail-Art sur le thème :
"Je vous ai apporté des bonbons"
je suis naturellement "tombé" dedans.
Vous pourrez vister le site à l'adresse suivante :
pour y découvrir tous les envois reçus.

Voici mes 2 derniers envois...les 3 autres, vous ont déjà été montrés.

L'Art Postal, c'est marrant...

Là, par exemple, comme je possédais quelques cartes postales anciennes sur le thème de la femme, je me suis amusé à "découper" les têtes de ces dames. (ne vous méprenez pas, non ! je ne vous raconterais pas un film d'horreur !) J'ai un peu arrangé les images pour monter une sorte de galerie de coiffes et de chapeaux d'époque (non, l'encadré là-haut, à droite, ne fait pas partie de la galerie, il ferait plutôt partie des meubles...si l'on peut dire)
J'espère que mon petit montage vous plaira même si ce n'est pas le "Peroux" (!)comme dans l'adresse inventée.

21 septembre 2007

Suite et fin de mon histoire de vacances

La suite de cette histoire...qui ne vous a pas manquée, je vois...mais je vous comprends, il n'y a pas de quoi fouetter une chatte (je me méfie davantage des matous qui sont plus dangereux !)

Voici donc l'épilogue de cette remise en forme Franc-Comtoise (franchement "Doubs" à partir de maintenant)

Après un petit trajet en car d'une dizaine de km, les responsables de "l'expédition" m'amenèrent à Refranche un tout petit village du Doubs (quelqu'un connaît ?) et me présentèrent à une fermière d'apparence très charmante qui nous attendait sur le pas de sa porte. Elle avait l'habitude d'héberger des enfants. Au fur et à mesure, j'apprenais qu'il y avait une fille d'une trentaine d'années, elle était mariée et n'habitait plus chez ses parents. Il y avait aussi un garçon de 15 ans, Maurice, avec lequel le contact ne s'est pas vraiment établi. La différence d'âge en était probablement la cause principale. De plus, il en avait peut-être assez de voir débarquer des enfants qui ne cessaient d'accaparer ses parents...et celui qui venait d'arriver avait, en plus, un drôle d'accent...

J'ai aussi appris qu'il y a eu inversion d'enfants, car j'ai encore pu rester toute une journée avec le gamin de mon âge qui devait repartir ensuite chez les 2 demoiselles qui m'avaient d'abord accueilli chez elles. (vous vous souvenez, je vous ai raconté comment ça s'était passé ?)

Dans cette maison, je me suis tout de suite senti bien. Il y a des endroits qui vous font cet effet, dégageant un bien-être qui rassure et aussi une cetaine sérénité. Eh, ben, c'était ce que je ressentais ici.

Mes occupations étaient variées et intéressantes pour mon âge. Mes hôtes étaient fermiers, propriétaires d'une petite exploitation avec quelques vaches et des champs de cultures diverses. Ils m'emmenaient parfois pour les travaux des champs et je m'intéressais particulièrement aux boeufs qui tiraient la charette. Je les caressais et ils aimaient cela. Mais quelquefois, on ne sait pas pourquoi, une idée idiote vous traverse l'esprit et on passe entre les cornes des boeufs et l'arbre qui leur sert d'ombre ! il arriva ce qui devait arriver ! un coup de corne involontaire du bestiau embêté par les taons ! et j'ai vu 36 chandelles en plein jour ! (peut-être même un peu plus) la corne m'avait fait un trou tout près de l'oeil droit ! Heureusement pas trop grave pour moi...le boeuf lui, était bien entendu, navré... La fermière accourue suite à mes cris. Je la voyais inquiète, mais scrutant mon oeil qui n'avait rien, poussa un grand soupir de soulagement ! Il était pourtant, moins une !

Avec Maurice, nous gardions parfois les vaches dans les près. Et comme c'est souvent le cas, dans la brume le matin, très tôt, il ne fait pas chaud. Pour nous réchauffer, Maurice faisait flamber les petits ifs qui poussaient par-ci par-là (ce ne sont évidemment pas des choses à faire, mais dans la tête des gamins, fleurissent parfois des idées saugrenues et celle-là c'en était une)

Le fermier possédait aussi une belle petite menuiserie et un étalon noir de toute beauté.

Mon séjour de plus de 3 mois, là-bas, fut très éducatif et ce que je retiens surtout, c'était la petite, très petite Ecole Communale avec une seule classe d'une quinzaine d'élèves. Une jolie instutitrice encore toute jeune, à peine plus âgée que l'ainé de la classe, me semblait-il à l'époque.
Nous écrivions exclusivement à l'encre violette et gare aux taches ! Je me souviens encore d'une "leçon de choses" la maîtresse nous expliquait qu'il ne fallait pas se laver les oreilles avec du savon, elle disait que le savon mal rincé dessèchait l'intérieur du pavillon et pouvait générer des maladies...

Mes devoirs, je les faisais sur le rebord large d'une fenêtre donnant sur la rue. Je m'y trouvais bien. De temps en temps, une paysan passait tout près de la maison avec son chargement en frôlant le mur...cela énervait un peu le père B....
Maurice pianotait parfois sur son accordéon, mais très rarement. Il n'était pas très doué, mais il n'a jamais voulu me prêter son instrument !
Voilà, je suis arrivé à la fin de mon histoire de vacances en Franche-Comté, un petit souvenir que j'ai eu plaisir à remémmorer sur ce blog.

Panne d'Ordinateur

Un matin, malgré plusieurs tentatives je n'ai pas réussi à faire démarrer mon PC. Quelques jours auparavant déjà, je devais le flatter, le remettre sous tension, le secouer finalement pour qu'il redémarre, mais là, rien, pas de son, pas d'image, même pas un bruit de ventilateur...
Je décidais alors d'ouvrir le panneau d'accès pour dépoussiérer, repositionner les câbles et tout faire bouger un peu comme vous le faites certainement aussi quand vous êtes un peu énervé (!) et tout d'un coup, qu'est-ce que je vois ? dans le coin haut à droite ? Approchez-vous d'un peu plus près...(cliquez sur l'mage)... j'ai vu un "CRS" et alors, j'ai tout d'un coup tout compris !!!! Que ceux qui sont chargés du maintien de l'ordre ne m'en veuillent pas, mais chaque fois que j'ai vu un groupe de CRS, c'était le souk et on n'avançait plus !(rires) ici, pareil, blocage complet, un énorme bouchon ! J'ai donc viré le CRS et je l'ai remplacé par un autre fonctionnaire (rires !), et depuis mon Ordinateur fonctionne à nouveau bien.

12 septembre 2007

If ! If ! Hourra !

ll y a ... quelques dizaines d'années de cela, nous avions planté un petit sapin de Noël au bord de notre terrasse. Au bout de quelques temps, nous avons d'abord eu la surprise de constater qu'il ne s'agissait, non pas d'un sapin, ni d'un if, mais de quatre ifs (!) si solidaires les uns des autres qu'on aurait pensé qu'ils n'en faisaient qu'un (eh! oui, la nature, elle aussi, nous joue parfois des tours...)
Ainsi regroupés, ils formaient une bonne protection contre le vent et le soleil l'après-midi. Ils étaient devenus envahissant et bien que je les eusse taillés "assez" régulièrement sur les 2 faces latérales, j'avais omis de les étêter et pour cause, ils avaient atteint 4 ou 5 m de haut ! et formaient un bel arrondi, bien touffue, au dessus de la goutière, ce qui empêchant les eaux pluviales de s'évacuer en obstruant les descentes d'écoulements, car j'avais oublié de vous préciser que la terrasse est couverte.
Il fallait donc remédier à tous ces inconvénients. Quatre ifs ayant chacun de 15 à 20 cm de diamètre nécessitaient des moyens que je n'avais pas. Il fallait une tronçonneuse. Il fallait aussi savoir manier cet engin avec une certaine habitude, sinon gare au massacre ! (à la tronçonneuse, bien sûr !)
Les branchages avaient été élagués pour faciliter l'accès avec l'engin dont je me méfiais...et aussi peut-être inconsciemment à cause du film...que je n'ai pas jamais regardé d'ailleurs.
Le hasard, ou une autre raison, a voulu que dans le courant de la semaine, un collègue s'amène et nous parlons tout naturellement de mon problème de coupe. Le lendemain, il s'en revient avec une tronçonneuse électrique et nous commençons à couper le premier tronc juste sous la goutière et là nous avons pu nous rendre compte que le bois d'if était très dur et résistant, il a bien fallu un quart d'heure pour arriver à scier un tronc... En entamant le second tronc, la tronçonneuse rendit l'âme (je vous passe les détails de notre examen pour déceler les causes possibles de non fonctionnement) Le jour d'après, mon ami revient avec une tronçonneuse à essence. Seulement dans la précipitation, il avait omis de vérifier le niveau du mélange de carburant contenu dans le petit réservoir et nous avons dû arrêter nos travaux pour cas de force majeure (rires) Deux troncs seulement étaient donc coupés, un 3ème étant légèrement entaillé...Mon copain bûcheron s'en était allé en oubliant de me dire s'il revenait...J'ai donc continué tout seul à la main avec une petite scie d'élaguage en suant sang et eau comme l'on dit, pour enfin arriver au terme de cette entreprise...
Tout cela pour vous montrer ce que j'ai observé au sol avec de tout petits glands de la forme de ceux d'un grand chêne. Cela m'avait épaté et je partage cette curiosité avec vous...
Pour un bon nombre de personnes cela n'est rien d'extraordinaire, c'est sûr, mais les autres seront peut-être, aussi intéressés que moi, lorsque je les ai découverts.
Le but, n'est pas de vous faire un cours sur les ifs, je n'en ai pas la compétence, mais je sais que les oiseaux sont nombreux à construire leurs nids dans ces arbres-là. Ils trouvent une bonne protection contre les éléments et les prédateurs, de plus, à la même époque, avant que les glands ne se forment, les oisillons ont la nourriture à portée de bec avec les fruits rouges que produit l'if.

24 août 2007

Un Autobus à Paris...en 1909

Je saute vraiment du coq à l'âne ! mais... je ne vous permets pas de penser que c'est moi, l'âne !
Je vous montre, ici, un des tout premiers autobus. Place de l'Opéra à Paris où les piétons pouvaient encore traverser sans se faire écraser à coup sûr ! Cet autobus est un modèle de marque Brillié dit "à Impériale" à cause du second étage. Il faisait bon de s'installer là-haut, par beau temps, bien sûr, (le confort était rudimentaire, car il n'y avait pas encore de pneus, un caoutchouc dur entourait les roues et sur les pavés ça devait secouer!) Un escalier en spirale permettait d'accéder à l'étage supérieur. Vous voyez, je vous en parle comme si j'y étais !! rires

Un autre genre de vacances...

En 1946, je fus, comme pas mal de copains, placé dans une famille (on appellerait ça aujourd'hui une famille d'accueil temporaire "FAT" on abrège tout de nos jours !) Le but était de nous requinquer après la dure période de la guerre que nous avions vécue et qui nous avait privé d'une alimentation normale. C'était généralement pour une période de 3 ou 4 mois.
Nous avons été transportés par "autobus" nous étions "distribués" un à un dans différentes localités et chacun descendait au fur et à mesure de sa destination prévue. Tout doucement le car se vidait, j'attendais avec un peu d'anxiété mon tour...Un responsable m'appela par mon nom à l'entrée d'Ornans, tandis que le car ralentissait. Deux femmes assez âgées (me semblait-il à l'époque), tout de noir vêtues m'attendaient. On me confia alors à ces personnes qui n'arrêtaient pas de me serrer et de me couvrir de bises (là, déjà, je plaisais beaucoup ! rires) Je n'étais pas particulièrement enchanté d'atterrir ici et de devoir accompagner ces deux femmes si tristement habillées. Mais je n'avais pas le choix, elles m'emmenèrent donc dans leur ferme ou dans ce qui devait en être une, il y a encore peu de temps.
Nous étions au mois d'août, leur maison était bien fraîche, on me servit une boisson, avec un grand sourire, ce qui me mettait un peu plus à l'aise...La pièce était sombre, pratiquement sans fenêtre digne de ce nom, juste un trou carré dans le mur, je ne sais même pas s'il y avait un vitrage...Bref, cela ne démarrait pas trop bien pour moi.
Imaginez-vous en gamin de 9 ans, seul, dans une région qu'il ne connaît pas, sans copains, sans parents, sans même une personne que vous connaissez, dans un endroit plutôt tristounet et pour longtemps, très longtemps...
J'étais arrivé vers midi et l'on commençait à me préparer une omelette sur le fourneau tout noir (lui aussi) où la seconde dame activait le feu de bois avec un tisonnier... quand soudain, quelqu'un toquait à la porte d'entrée, tout en appelant le nom de la propriétaire,
- Madame C...?
- Oui !? qu'est-ce que c'est ?
Celle qui ne s'occupait de la cuisine se dirigea vers la porte et s'ensuivit...une discussion dont le sens m'échappait...j'étais trop éloigné. De temps en temps, je jetais un coup d'oeil du coté de la porte et dressais l'oreille pour essayer de comprendre ce qui se passait... Le ton montait en vagues successives...C'est ainsi que j'arrivais à capter quelques mots, je compris alors que l'on parlait de moi ! Je n'avais pas remarqué tout de suite que les visiteurs étaient deux. L'un d'eux montrait une feuille de papier à Madame C...la seconde dame avait rejoint la première (j'appris plus tard qu'elles étaient soeurs)
La discussion s'amplifiait, les deux visiteurs semblaient prendre le dessus...Un peu plus tard, les deux soeurs vinrent vers moi, les larmes aux yeux, et me prenant tour à tour dans leurs bras en me disant que je ne pouvais malheureusement pas rester avec elles, qu'il y avait eu une erreur d'adresse (aujourd'hui "dispatching" !) et que je devais repartir avec les responsables du placement pour une autre maison ! Quelle histoire !!! Une erreur de distribution ! vous vous rendez compte !?!
Je n'étais pas sorti de l'auberge...mais j'étais au moins sorti de cette endroit très sombre. En rejoignant les 2 personnes à l'extérieur avec mon baluchon, je fus complètement aveuglé par le clarté du dehors Je clignais des yeux afin de dévisager ceux qui allaient m'emmener ailleurs. J'essayais de leur trouver une ressemblance avec quelqu'un que j'avais déjà vu auparavant ou durant le trajet dans le car, il me semblait reconnaître la chevelure de la femme blonde. La femme était rassurante et m'expliqua ce qui s'était passé. L'homme ne semblait pas particulièrement aimable, probablement encore énervé par ce qui s'était passé et par les arguments qu'il avait dûs avancer pour convaincre les deux soeurs de me relâcher ! (à suivre...)

Les jolies Colonies de Vacances...

L'été 2007 se termine, mais au fond n'a-t-il jamais vraiment commencé ?...
Juste après la seconde guerre mondiale, nous avions la possibilité de partir un mois en colonies de vacances, organisées par Les Mines Domaniales de Potasse d'Alsace. Nous logions sous de grandes tentes militaires de couleur kaki. J'en ai gardé un assez bon souvenir. Nous nous retouvions rassemblés ici, entre garçons de 9 à 11 ans en venant de différents villes ou villages du Bassin Potassique. Sur la photo, je reconnais encore aujourd'hui, un certain nombre de copains, copains que j'ai d'ailleurs retrouvés plus tard à l'Ecole des Mines de Pulversheim.
Nous étions parfaitement encadrés par des moniteurs compétents et expérimentés.
Sur cette photo, d'une coupure de journal que j'avais conservée, vous me retrouvez...mais où ??
Voyons voir si vous êtes aussi perspicaces que vous voulez le faire croire !!!
Réponse: "Xuoneg sel rus sniam sel ,emèixis el etoird à ehcuag ed sruetinom sel suos eégnar ednoces ,tuah nE"

Encore des plumes ? Oh! lala...

J'ai beau me mettre à contre-jour pour voir l'interstice de ce fameux fendage, je ne vois aucun jour ! J'ai du mal à comprendre comment les 2 parties pouvaient être si bien rassemblées -l'élasticité du métal peut-être ?
En agrandissant l'image vous remarquerez le grand nombre d'ouvrières derrière leur machines à fendre - et ça ne rigolait pas ! -
Premiers pas vers ce que l'on appelait alors, le travail à la chaîne.
Un peu plus tard, Gandhi disait ceci :
"La machine a gagné l'homme,
l'homme s'est fait machine,
fonctionne et ne vit plus"
C'est un peu vrai...regardez tout ce qui cavale autour de vous dans tous les sens - et vous avec !- lorsque l'on prend un peu de recul, on se pose des questions sur notre façon de vivre...
il paraît que c'est le progrès...je n'en suis pas si sûr...

23 août 2007

A votre santé !

Cette année, l'été n'a pas donné très soif...peut-être était-ce préférable dans certains cas !
Je trinque pourtant avec vous qui me rendez visite de temps en temps...
Une petite réalisation que j'ai faite et qui montre qu'il ne faut pas abuser de ce breuvage sinon voyez les rondeurs que vous risquez d'avoir !!! (et ce n'est pas dans l'air du temps...rires)

Oh! La Belle Miche !

►"Du pain à toutes faims utiles !"◄©
Je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit, mais j'adore le pain. Je le préfère souvent à n'importe quelle autre patisserie...
(je suis donc un bon Français, comme disait ma grand-mère !)
Avez-vous remarqué que la grand-mère compte beaucoup dans le coeur de la plupart des enfants, le grand père aussi parfois...Ce que disaient les grands parents était important. Nous étions tous plus attentifs à ce qu'ils nous disaient...et avec l'âge, leurs dictons, leurs conseils, leurs avis deviennent presque paroles d'Evangile...
Voici un petit poême écrit à partir de cette image par une personne qui m'est chère. Le poême se veut sans prétention, mais, moi, je le trouve beau.
Voyez ces mains
Flétries par le pétrin
Elles ont travaillé
Pendant des années.
Elles vous présentent
Ce beau pain
Issu d'un petit grain
Petit grain de blé
Mûri dans un bel été
Ces mains ont semé
Des champs entiers
Pour nourrir l'humanité.
Hélène

16 août 2007

Tiens ! Les Cigognes...

Voici 2 enveloppes décorées que j'avais réalisées en 1999 (déjà!) pour mon ami Bernard, un amateur de cigognes. Une scène de Printemps et une autre d'hiver.
Pour la scène de Printemps, c'est vrai que les cigogneaux ne vivent pas de nourriture spirituelle !
Pour la scène d'hiver, c'est vrai qu'il faut que jeunesse se passe...mais pas à n'importe quel prix.

15 août 2007

Notions sur les Plumes...d'écriture (rappel)

On ne dirait pas à les voir comme ça, mais ce sont souvent des oeuvres d'art !
D'après mes informations, il y aurait eu, en tout, plus de 20 000 sortes différentes (j'en ai eu pour ma part, près de 3 000 sortes)
Je vous remontre ici quelques spécimens avec des renseignements qui satisferont partiellement votre curiosité. Il en aura fallu de l'ingéniosité et des idées (protégées par des Brevets) pour les imaginer et ensuite beaucoup de main-d'oeuvre pour les réaliser !

La meilleure de toutes "La Plume Rolka" pour finir sur une note un peu moins sérieuse.

12 août 2007

Un nouveau Tramway à Paris ?

Ressemblerait-il à celui-ci ?
Tramway de St-Germain - Traction à vapeur
Cette Carte Postale Ancienne qui date de 1908/1910 environ, vous montre un des tout premiers tramways mis en circulation. Parallèlement, on pouvait voir aussi des tramways tirés par des chevaux (peut-être en attendant que l'eau se chauffe et se transforme en vapeur !!) j'ai, je crois, encore une carte de la Ville de Calais montrant 2 trams se croisant et dont l'un d'eux est tracté par des chevaux.
Par chez nous, les gens appelaient les trams, les fers à repasser.

11 août 2007

Les pointes...de crayons


Pointes de crayons !

Le jeu consiste à trouver le nombre de pointes de crayons qui composent ces 3 charmantes chattes humanisées en tenue de plage (!)

Un jeu à emporter en vacances, non ?

Je suis presque sûr que certains estivants emmènent leur PC portable en vacances...! vous ne pensez pas ?

Nouvelle hausse du prix du Tabac

Le futur gendre un peu gêné à qui le futur Beau-Père offre le cigare après le repas :
"Non, merci, je ne fume pas"
Le futur beau-père : "Prenez ! dans quelques temps, vous verrez, ils prendront de la valeur !"

Une belle publicité ancienne.

06 août 2007

Oui, c'est moi, souriez vous êtes photographié !

Rappelez-vous, je collectionne aussi les instruments d'écriture. Voici quelques spécimens de porte-plume et aussi un petit carnet de bal que les jeunes filles avaient sur elles pour noter les cavaliers pour les danses à venir, elles y ajoutaient peut-être aussi leurs impressions sur les qualités comme danseur, baratineur ou autre...qui sait...(là, c'est mon imagination qui parle)

Ci-contre, une photo plus récente dans mon "Profil"...afin, que vous me reconnaissiez si nous nous croisons quelque part...mais je vous préviens, je sors rarement !




Voilà ce qu'est devenue ma "Galère"




Un MAIL-ART à 3 faces ! De bas en haut : Verso 1 puis Verso 2 et Recto. Un de mes plaisirs, c'est aussi l'écriture miniature (on cherche ses satisfactions où l'on peut !) Lorsque j'étais espion professionnel, il m'arrivait de passer des messages codés sous un timbre-poste. C'est fou, ce que l'on peut mettre sous une petite surface telle qu'un timbre.
La difficulté de ce genre d'exercice réside dans le doigté, la main doit être légère comme celle d'une brodeuse...l'instrument a aussi son importance, mais pas autant qu'on pourrait se l'imaginer. Dans ce travail, il faut éviter d'écrire trop de bêtises sous prétexte qu'il faille remplir de petites surfaces...Mon but est pourtant toujours d'essayer de faire sourire mon destinataire, alors forcément, il faut en écrire ! Sous l'image du requin, j'ai notamment dit :
"Car la Bruni ssent les corps étrangers..." etc. il devait faire chaud ce jour-là (rires)
Une autre, une autre...! Puisque vous insistez...
Voici donc un jeu de mots que j'ai écrit sous le phare du bout du monde
"Un phare peut sauver des marins, mais un fard peut sauver la face"©
je ne suis même pas mécontent de celui-là...
Bien sûr, vous aviez remarqué que j'avais modifié le timbre de droite pour que les 2 Capitaines se regardent, j'ai même caché sous une galère à coté du timbre, une expression du genre: "Mille millions de sabords ! Quel est ce marin d'eau douce que je vois là-bas ?
Tonnerre de Brest, il faut que j'éclaircisse ce mystère !"
Quand le délire vous prend, on a du mal à le freiner !


Quelle voie choisir ?...

Trouver sa voie
Le choix est de plus en plus difficile...et lorsqu'à 20 ans on en choisit une, il n'est pas du tout sûr que 10 ans plus tard, on soit encore d'accord avec le choix que l'on avait fait ! C'est dingue, non ?

Une petite cochonnerie (!)


Là, je me suis inspiré d'une carte postale ancienne de l'illustrateur "Xavier Sager" (que je salue en passant...) d'innombrables cartes ont été éditées et signées par cet artistes du début du 20ème Siècle. (je vous montrerai quelques unes dans un prochain message, vous me le rappellerez...n'est-ce pas ?)




Vous préférez peut-être la version colorisée ?... qu'à cela ne tienne, la voici...
Ma correspondante mailartiste a reçu la version "crayon" sur le recto et la version colorisée au verso ! Elle va être embêtée pour l'encadrer !!
Le thème du cochon est fertile en idées créatrices.
J'avais écrit un jour :
"Dans chaque homme, il y a une femme qui sommeille...en plus du cochon...bien sûr !"
Piggy-One avait trouvé cela drôle...et vous ?

Le Train des politiques a un peu de retard...

Je suis sûr que vous ne pouviez pas,
tous, les encadrer...moi, j'avais réussi à le faire
au mois d'avril...Maintenant, ce serait encore plus difficile ! (rire jaune !)
Imaginez que la couleur orangée soit blanche et vous aurez les couleurs du drapeau français.

Mes envois récents à L'Hospice d' Havré


Cet appel à "L'Art Postal" sur le thème "Je vous ai apporté des bonbons" m'a inspiré ces 3 enveloppes de "Mail-Art"

05 août 2007

Courrier lent...

À partir du verso d'un carnet de timbres Poste et en voyant ces malles postales de différents types ayant circulées sur le territoire français, il ya quelques temps (du temps des diligences !) et l'actualité aidant, j'ai créé cet Art-Postal intitulé : "COURRIER LENT" en y ajoutant un petit texte sur la grève des chevaux avec en clin d'oeil suivant : "...et le Service Minimum alors ?..."
Je dois dire que je ne peux réellement pas me plaindre des services du courrier de la Poste... Je n'ai pratiquement pas eu d'incident à signaler durant les nombreuses années d'utilisation de leur service "courrier".
De la chance peut-être ? c'est possible...je précise que je prends toujours soin d'écrire lisiblement l'adresse du destinataire...

23 juillet 2007

Vous avez le bourdon...? Moi aussi...!




Vous avez peut-être des difficultés à lire le texte et vous ne voulez pas vous fatiguer à cliquer sur l'image pour l'agrandir...Voici le texte...très légèrement modifié :

"Cherchez l'intrus !
Après avoir "bourlingué" dans les fleurs d'Ibiscus de jardin, le voilà complètement sur les rotules...il recharge ses batteries sur sa rose préférée qui l'accepte !"




Le voici en gros plan ! Aujourd'hui, c'est lui, la Star !

30 juin 2007

Une Croisière pour Juillet et Août

J'ai décidé de faire une croisière sur ce voilier cette année ! J'ai à peine terminé sa construction...Il était là sur une étagère de mon bureau. Chaque fois que je le regardais, je me mettais à rêver à de lointains voyages dans les îles au temps des Corsaires...Et avant hier, je l'ai descendu de son piedestal et je lui ai redonné une nouvelle vie ! Le ciel, le soleil et la mer...le pavillon français à la place du drapeau américain et le fanion renommé ont été ajoutés ou modifiés pour lui redonner cette belle allure et...maintenant : "Vogue le galère...!" Je sais, je n'aurais pas dû l'encadrer, cela limite ses déplacements...mais si cela vous gêne, enlevez-le et partez où vous voulez...!
Je vous souhaite de très belles vacances et revenez nous voir pour nous raconter vos péripéties, (enfin, celles que vous voudrez) et surtout montrez-moi vos photos au retour, j'adore les images, vous le savez...
NB. - Il s'agit d'une repro de la "CONSTITUTION 1884".

26 juin 2007

Un peu d'humour philatélique

Juste pour sourire...ce ne sera peut-être qu'un sous-rire pour certains.

Un retournement de situation

Heureusement imaginaire ! Quoique...queue de cochon, évidemment.

Une jolie fleur d'Ibiscus

Une jolie fleur trop éphémère. Les gouttelettes ne sont pas de la rosée, mais des gouttes de pluie !
Il a fait plus beau en avril !

15 juin 2007

Pour Mouette

Un encrier pour piscine ! ça ne peut servir qu'à des plumes !
Rien de plus logique...



Pour Piggy-One...


La Fête du Cochon dans l'année du cochon de l'horoscope chinois
avec texte en dialecte alsacien approximatif.

Pour BBSOHO

Des Fleurs comme des Coupes de Champagne pétillantes.

Pour Mouette


Une réalisation mettant en valeur toute la délicatesse de la féminité avec des mots choisis et placés au hasard.

Mail-Art à Bernard

Mail-Art intitulé :"L'oiseau qui murmurait à l'oreille de la Geisha"
Courrier arrivé à bon port malgré l'écriture qui se voulait un peu asiatique !

04 juin 2007

Un CD altéré...

Rien ne se perd, tout se transforme.
Ce CD est devenu Mail-Art !
Avec comme titre: "Paon dans le mille !"
Peut-être avais-je fait une association d'idées avec la forme ?
En tout cas, c'est bien paon...sé !
Je ne suis pas sûr que cela vous fera rire...
mais si cela vous fait sous-rire, ça sera déjà ça !

Oh ! Déception...












Eh !...oui...

Sur une illustration de Mich du début du 20ème Siècle.

Résultat...

En voilà une qui a été influencée par mon image sur ce Blog et qui s'intitulait
"Stop ! On n'enfume plus !"
Je dis bravo !

Revenons aux temps actuels !

Elles ne sont plus si folles, on dirait...
Tout au moins, n'en entend-t-on plus parler...
et si...nous étions devenus si fous, de ne plus pouvoir nous en rendre compte ?
(Question profonde à meuh...diter !)

Un autre qui date

Avant l'invention du tramway...